Astaroth, pyromancien démoniaque

Alors je me présente: Astaroth, seigneur des enfers, aimant le JDR et plein d'autre choses......
Je suis sur ce forum et je suis prêt a interpréter mon (mes) personnage(s).

L'ombre observe la créature qui ose se proclamer seigneur des enfers et par la même son maître... le jaugeant... ce demandant comment il pourrait être seigneur de quoi que ce soit... tourne les talons puis pensant à voix haute déclare:
"Soit... tu est seigneur des enfers mais prend garde à ne pas empiéter sur mon domaine, car je ne suis pas ton serviteur. Et, comme toutes les créatures qui réside en ces lieux je n'accepterait ton autoriter en aucun cas... fais attention à toi "seigneur"... héhéhéhé...."
l'ombre disaprais ne laissant aucune trace de son passage si ce n'est cette étrange sensation de malaise que ressentirons les créatures inférieures mais qui sera une trace de son passage et de son message à tout les êtres qui lui sont égaux ou même supérieurs...

[heu, heu dsl je suis partit en live mais c'était juste une réaction a "seigneur des enfers" moi qui suis le Hellwarrior je ne pouvais pas laisser passer ça ^^ enfin bienvenu sur ce new forum lool ]

Mais où suis-je ?
Je suis dans un bois obscur ne ressemblant à aucune des forêts que j'ai pu parcourir jusqu'à présent, les arbres y sont noirs et sans feuillage comme mort, je ne distingue aucun bruit, aucune faune, je dois continuer d'avancer ou m'enfoncer dans le sol sombre et argileux de cet endroit. Je peux enfin sentir un sol solide et légèrement craquelé sous mes pieds, je suis enfin sortit de cet endroit d'où aucunson ne retentissait.

Mais que vois-je ?
Une gigantesque porte noire, faite de matériaux inconnus de mon peuple, s'offre à moi.
Je parviens à comprendre les mots dominants cette entrée, mon père m'a appris cette langue pour pouvoir m'en protéger, c'est la langue dans laquelle les nécromants font leurs incantations maudites. Il est inscrit : Royaume d'Astaroth, Seigneur des Enfers.
Derrière cette grille je ne distingue pourtant rien, le noir total, telle néant.
Je me sens tiraillé entre la curiosité de franchir cette porte et la terreur que m'insuffle cet endroit et qui me paralyse sur place.

Je parviens à entendre une voix parmi tout ce silence, celle-ci m'est familière, il s'agit de Anderir mon premier lieutenant, je sombre...de nouveau.

"Mon Seigneur, j'ouvre les yeux en découvrant Anderir et Aenaria la guérisseuse à mes cotés, j'ai bien cru que vous étiez perdu. Aenaria a fait tout ce qu'elle a pu mais c'est votre force d'esprit qui vous a sauvé."

Etait-ce une illusion ?
Non je me souviens maintenant, j'ai en effet frolé la mort suite à la blessure que cette Goule m'a infligé et le poison de ses griffes a bien failli avoir raison de moi.
Me relevant je demande à Anderir: "Qu'en est-il de la situation ici ?
_ Nous avons repousser les Mort-Vivant pour le moment, mais nous redoutons un nouvel assaut.
_ Préparez un conseil de guerre, nous devons planifier nos défense."

Que font ces créatures si près de mon territoire et surtout qui peut les diriger.

"Ainsi il en est toujours de ces fous pour croire à leur propre force, des individus croyant que le monde leur appartient et qui se déclarent seigneurs. Des mots. Des mots jetés dans la tempête du destin. Des mots charriés au milieu des rêves oubliés et des espoirs vains. Des mots pour aboutir à la même fatalité. J’ai vu le passé, le présent et l’avenir, j’ai voyagé à travers la trame du temps et ils n’en font pas parti. Comme les autres leur puissance est illusoire, comme les autres leur vie est futile, point ne me revient la tache d’y mettre un terme, le temps s’en chargera. Bientôt ils ne seront plus qu’ombres sur mon long chemin, seul moi me rappellerait leurs existences et pourrait la conter aux générations futures, comme tant d’avertissements inutiles lancés a des êtres déjà condamnés. Votre statut d’éphémère est enviable a moi qui recherche ma fin. A vous qui peut-être dans votre soif de pouvoir cherché vainement l’immortalité, si par hasard vous rencontrez la mort, rappelez-vous de moi et dites-lui mon nom a l’oreille, moi qui la cherche ardemment, vous m’êtes redevable de porter vos existences a travers les ages. Je suis las de la froideur de mon âme."